Outrageous RIGHT – Ces derniers jours, il est difficile de rater “Rapidly my name”. Ce site, pastiche de « Vite ma portion » (qui permet de traquer une spécialité gratuite pour inoculation hostile au Covid), a certes apprécié une notoriété colossale depuis sa mise en ligne le 15 septembre.
Son compteur affiche plus de dix millions de poursuites achevées ce vendredi en début d’après-midi, notamment en raison de transferts médiatiques divertissants (comme en grande partie), de marques (comme Domino’s ou KFC) ou potentiellement de personnages, comme l’ancien secrétaire d’État Mounir Mahjoubi. qui n’avaient vraisemblablement pas envisagé l’exposition qu’ils offriraient à Éric Zemmour.
Le passé Hapsatou
La pulsion part d’une pensée répétitive de la possibilité polémiste et envisageable de la course politique officielle suivante : celle d’interdire aux tuteurs français de donner des prénoms inconnus à leurs jeunes. Aussi, pour indiquer l’action qu’il entend faire cela, pour être précis de rétablir une loi de 1803 limitant la décision des prénoms pour ainsi dire “utilisés dans les différentes annexes et celles de figures connues de l’histoire ancienne”. Un texte qui vient d’être supplanté en 1993 dans le droit français, mais qui – comme le rappellent nos partenaires du Point – n’a jamais vraiment été appliqué en France.
En 2018, Eric Zemmour avait dès à présent suscité le débat sur un bouquet de la chaîne C8 en faisant ressortir cette pensée de l’interdiction des prénoms inconnus en France. Confronté à l’écrivain Hapsatou Sy, il lui révéla qu’il aurait aimé la voir s’appeler “Corinne” (rappelez-vous !), un prénom qu’il accepta aurait fonctionné avec son incorporation (malgré le fait qu’il n’était pas morceau de l’horaire des saints chrétiens, comme le garantissait alors Eric Zemmour, à ce moment-là, NDLR).
Une aventure qui a ainsi animé les créateurs de « Rapidement mon prénom », qui ont fait naître un robot d’indexation recommandant « un prénom pour 2022 ″ à des internautes dont le nom de famille n’est pas comparable à la pensée de l’écrivain (et qui “ne conviendrait pas à la loi de 1803”, composent-ils). C’est le moyen par lequel nous sommes annoncés “Marius” si notre nom est Karim, “Alain” pour Abdou ou “Audrey” pour Ashley.
Un autre coup dur du rassemblement 18-25 ?
Cependant, comme de nombreux clients Internet l’ont noté depuis la mise en ligne de la page Web, quelques gestes suggèrent qu’il ne s’agit certainement pas d’une simple blague. Guillaume Brossard, du travail de la page web en suivant les fausses nouvelles ” Hoaxbuster “, a donc enquêté sur les débuts du site avec l’aide de quelques internautes prêts à enquêter sur son code.
Qui plus est, si le personnage de l’individu derrière « Rapidement mon prénom » reste obscur, de nombreux signes semblent proposer une fête bouleversée 18-25 ans jeuxvideo.com, où les adeptes d’images aux références fondamentalistes sont armée et où la présence du site a été invité. « Le site a été fait par un khey ? (comprenez une coutume sur le rassemblement, NDLR) Bravo à lui », pourrait-on lire dans une conversation.
Images et références
Guillaume Brossard et les clients Twitter qui l’aident, par exemple, ont trouvé comment découvrir un profil “vitemonprenom” réalisé sur ce rassemblement, qui avait diffusé dans une discussion une déclaration de choses à venir d’expédition du site. Editée et effacée, cette distribution n’est actuellement pas ouverte.
Rapidement après la mise en ligne de « Rapidement mon prénom », quelques dispositions et références avaient d’ores et déjà mis ces internautes sur la piste de la discussion.
Concrètement la réponse appropriée donnée lorsque nous avons saisi « Risitas » dans la barre de poursuite (du nom d’une image de faction sur le rassemblement et d’autant plus globalement en partant de l’extrême droite) : « Vous devez changer de prénom. Votre nouveau prénom sera Gildas , pourtant on concèdera une capacité à porter El Risitas” (le nom complet de l’image, NDLR).
De même, quelques réponses apparaissent intégralement dans le code du site, notamment celle à faire au cas où l’on entrerait « Hapsatou » (réponse « Corinne ») ou différents termes couramment utilisés par la fascosphère ces derniers temps ( ” X Æ A-12 ” l’enfant d’Elon Musk, ” Issou ” autre image de rassemblement, ” Zinedine “…). Collés aux médias basés sur le Web, ces composants semblent avoir depuis été éliminés.
Autant de composants innombrables, combinés à l’envie exprimée de secret du fabricant qui recommande une activité de correspondance grande pour la prédétermination d’Eric Zemmour et de son bureau.
Les compagnons de Zemmour charmés par le coup d’exposition
Quoi qu’il en soit, il offre de la joie à Antoine Diers, représentant de l’affiliation « Les Amis d’éric Zemmour ». Jointe par Le HuffPost, la personne qui indique parler juste en tant que représentant de l’affiliation, pourtant pas dans l’intérêt du polémiste, inspire une pulsion « pernicieuse et amusante », garantissant qu’il n’a « aucune pensée » sur la personnalité de celui-ci. ou ceux derrière le site (sans avoir cherché à le savoir). Surtout, « derrière tout humour, il y a un intérêt politique fondamental », ajoute-t-il. Sans intérêt pour les pensées d’Eric Zemmour, alors, à ce moment-là, ces pulsions ne viendraient pas ».
Quoi qu’il en soit, Antoine Diers nous invite à dépasser la simple blague. « Il y a une sorte de désinformation à dire que nous serons renommés en 2022 (en cas de triomphe d’Eric Zemmour). Il n’y a jamais eu d’enquête pour renommer qui que ce soit : le sujet est nettement plus vrai que ça. » Le jeune Dunkerque et désormais chef de bureau au Plessis-Robinson, dans les Hauts-de-Seine, poursuit : « Ce que dit Eric Zemmour, c’est que le nom principal joue un rôle dans l’adhésion. Nous pensons que les Français pourraient avoir une vie supérieure, une coordination supérieure avec un prénom français.”
La réalité reste qu’Antoine Diers, au même titre que d’autres alliés d’une nomination du polémiste, invite cette exposition présentée à Eric Zemmour. « Tout ce qui se fait autour de son individu, les images, les neurchis et par conséquent ce site, ça lui donne de la perceptibilité. Aussi, ça nous aide à faire parler les individus de lui et à diffuser d’autant plus largement ses réflexions sur Internet. , peut-être, pour faire réfléchir les internautes et les marques qui se sont partagées en grand nombre le site « Rapidement mon prénom » depuis sa mise en ligne.